Les données récentes publiées par l’Insee dans l’édition 2014 du "Portrait social de la France" apportent un démenti factuel aux thèses de Christophe Guilluy. En effet, les statistiques ne montrent pas une "France périphérique" à l’abandon. Les pauvres vivent majoritairement dans les villes centres et les banlieues des agglomérations, pas dans les couronnes et le périurbain.
C’est très bien expliqué dans cet article publié sur le site du Centre d’observation de la société.
Mais on peut aussi se reporter directement à l’étude de l’Insee.
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