UNE MIDINALE À VOIR...
ET À LIRE...
Sur l’accords PCF/FI en Ile-de-France
« L’unité est un long chemin, surtout quand on est proche d’une échéance présidentielle. »
« Clémentine Autain avait la volonté de rassembler. »
« On a discuté avec tout le monde. L’objectif était de faire un trait d’union qui n’a pas été possible au premier tour. »
« Les communistes ont fait le choix de Clémentine Autain même si ce choix reste partagé. »
Sur Valérie Pécresse et la droite en Ile-de-France
« L’objectif commun de tous les communistes, c’est de tourner la page de la droite et de tourner la page Pécresse. »
« La droite a dégradé la vie des franciliens. »
« Ça fait cinq ans que je tiens la tranchée face à Pécresse. »
« Valérie Pécresse laisse une région qui s’est présidentialisée à outrance. C’est sa manière de faire avec un autoritarisme, couplée d’un libéralisme. »
« 70% des franciliens peuvent avoir accès au logement social et Valérie Pécresse a coupé de façon extrêmement importante les budgets dédiés au logement : elle a divisé par trois les crédits au logement social. »
« L’Île-de-France est une région qui a été malmenée et où les inégalités ont explosé. »
Sur les autres candidats de gauche
« Avec Clémentine, on va construire et on va se distinguer [des autres candidats de gauche] par nos mesures de rupture. »
« On va porter des propositions qui vont changer la vie des franciliens. »
« Parmi nos priorités, il y évidemment les questions des transports ; »
« Nous sommes la première force politique à avoir posé dans le paysage la gratuité des transports donc si c’est repris, on trouve ça plutôt bien. »
« Il faut une gratuité des transports pour les moins de 25 ans et les bénéficiaires des minima sociaux, dans toute l’Ile-de-France. »
« Il faut mettre fin à l’ouverture des lignes de transports à la concurrence. C’est un enjeu du mandat qui vient. »
Sur l’hypothèse du report des régionales
« C’est une campagne incertaine. »
« Si on ne peut pas mener la campagne, ça sera la prime à la sortante. Pécresse pourrait être réélue. »
« Pour l’instant, on n’est pas sûr de ce qu’on va faire demain. On ne sait d’ailleurs même pas comment on va faire notre lancement de campagne. On en est là. »
Sur le second tour
« On a deux adversaires : la droite et l’extrême droite. »
« Au second tour, on appelle à un rassemblement, ce qu’on appelle une fusion politique, autour d’un programme. »
« On a discuté longuement avec les socialistes et les écologistes et ce rassemblement qu’on appelle de nos voeux, leur semble naturel. C’est pas le moment pour eux de le dire ce qui est dommageable pour l’électorat de gauche et écologiste notamment. »
Sur la construction des listes
« La règle de la construction, c’est la parité politique. »
« Nous allons associer très largement les acteurs locaux, ceux des luttes locales et dans les quartiers populaires. »
Sur Mélenchon 2022 et les communistes
« Le vote des communistes n’augure rien pour la suite, ni en positif, ni en négatif. Ils ont voté pour la stratégie régionale. »
« Le paysage politique va encore subir des bouleversements assez considérables à gauche d’ici 2022. »