UNE MIDINALE À VOIR...
ET À LIRE...
Sur le pouvoir vivre
« Il faut avoir les moyens pour pouvoir vivre en Ile-de-France. »
« Dans pouvoir vivre, j’entends aussi pouvoir bien vivre et pas seulement survivre. »
« Il y a le mot pouvoir et comme l’enjeu c’est de présider la région, j’aime bien l’idée du pouvoir qui dit quelque chose de l’ordre de la capacité d’agir : si nous présidons, nous agirons. »
Sur les attaques de Valérie Pécresse
« L’antisémitisme est hors la loi en France et le combat contre l’antisémitisme est notre combat y compris au prix de violentes attaques de l’extrême droite dont j’ai fait l’objet sans que Valérie Pécresse n’ait jamais eu rien à dire. »
« Pécresse ne veut pas entrer en campagne avec un débat sur le fond avec ses adversaires donc au lieu d’assumer son bilan elle fait une campagne qui vise à stigmatiser, à délégitimer et à mentir vis-à-vis de ses adversaires. »
« Si nous sommes une cible pour Valérie Pécresse, c’est parce qu’elle sait que nous pouvons remporter la région. »
Sur les questions de sécurité
« Il y a trois candidats de droite et d’extrême droite qui ont décidé de faire porter le débat sur les régionales sur la question de la sécurité. Ce sont des débats régaliens parce que la sécurité est une compétence d’Etat. C’est donc un moyen pour eux d’éviter les grands enjeux que sont : transports, lycées, aménagement du territoire. »
« Je veux bien que nous discutions de la tranquillité publique mais ne nous trompons pas d’élection et ne mentons pas aux électeurs sur le véritables enjeux des élections régionales. »
Sur l’extrême droite et l’électorat populaire
« Une des raisons pour lesquelles je suis candidate dans ces élections c’est pour faire entendre une voix de gauche issue des quartiers populaires. »
« Il faut disputer sur le fond à l’extrême droite cette idée que l’extrême droite pourrait représenter l’électorat populaire. »
« Il y a une courte échelle idéologique qui est faite en ce moment à l’extrême droite. »
Sur les classes moyennes
« Notre projet ne s’adresse pas seulement aux catégories populaires mais un projet qui globalement va améliorer la vie des plus fragiles avec le choc de solidarité et les mesures d’urgences immédiates que nous proposons. »
« Nous allons multiplier par dix l’aide alimentaire. »
« Tout notre projet est tourné en faveur des classes moyennes puisqu’il s’agit pour nous d’enclencher un bifurcation sociale et écologique qui va améliorer la qualité de vie. »
« Nous allons nous soucier, non pas de l’attractivité et de la compétitivité de la région comme le fait Valérie Pécresse, mais du quotidien des franciliennes. »
« Le projet que nous portons va rendre la vie plus douce à la population. »
Sur les transports
« Nous avons une priorité en matière de transports qu’est le développement et l’amélioration des transports en commun notamment en banlieue. »
« Il faut tenir les deux bouts : l’horizon de la gratuité que nous voulons atteindre et la modernisation, la rénovation des transports en communs. »
Sur l’écologie
« Si je suis présidente de la région Ile-de-France, je serai la garante d’une écologie populaire. »
« Je veux tenir l’objectif de 80% de cantine bio, demain avec 50% de circuits courts et un maximum de circuits de proximité. »
« Nous avons la proposition politique la plus cohérente en matière de transformations sociale et écologique. »
Sur les aides aux entreprises
« On va dégager de l’argent en arrêtant de donner des moyens publics à des grands groupes qui licencient et ne respectent pas leurs engagements sociaux et environnementaux. »
« Nous allons soutenir les entreprises socialement utiles. »
« Nous allons créer des dizaines de milliers d’emplois solidaires qui vont profiter notamment au tissu associatif là où Valérie Pécresse avait supprimé les emplois tremplins. »
« Je veux multiplier les ressourceries en Ile-de-France et investir dans un service public de la réparation. »
« Nous allons lancer un système de fond régional - avec des milliards d’euros - et qui générerait des chèques franciliens fléchés sur une économie utile : les commerces de proximité, les activités sportives et culturelles ou les entreprises de l’économie sociale et solidaire. »
Sur l’attractivité de la région Ile-de-France
« C’est la région capitale donc son problème majeur, ce n’est pas son attractivité. »
« Investir dans le Charles-De-Gaulle Express, c’est-à-dire un train pour lequel il faut débourser 24 euros pour faire Paris-Roissy, c’est n’investir que pour les touristes riches et les hommes d’affaires. »
« L’urgence, c’est d’investir dans le RER B et son million d’usagers quotidiens. »
« Si on construit une politique publique en partant de la compétitivité, on arrive au Charles-De-Gaulle Express, si on se soucie d’abord de l’intérêt des Franciliennes et des Franciliens, on privilégie la modernisation du RER B. »
« La région doit se tourner davantage vers les besoins des Francilien-nes et des Franciliens sans essayer de courir à l’obésité financière internationale. »
Sur la santé
« Je fais une place de choix aux quetsions de santé dans mon projet. »
« La tête de liste que nous avons en Seine-Saint-Denis, c’est Christophe Prudhomme qui est un formidable urgentiste. »
« Nous allons créer 300 centres de santé, c’est-à-dire avec le tiers payant (on n’aura pas à y débourser d’argent), les gens y seront salariés, et ce sera en secteur 1. »
« Les centres de santé seront stratégiquement implantés pour lutter contre les déserts médicaux. »
« Nous allons former 20.000 infirmières, aides-soignantes et personnels de santé, moyennant une rémunération. »
Sur la gauche au deuxième tour de l’élection régionale
« La gauche peut l’emporter si elle sait se réunir au second tour. »
« Si je suis en tête au premier tour, je mettrai toutes mes forces pour mobiliser le rassemblement des trois listes de gauche, avec Julien Bayou et Audrey Pulvar. Je souhaite d’ailleurs que ces deux candidats fassent de même. »
« Il faut que tout le monde soit rivé sur l’objectif de ravir la région à Valérie Pécresse pour permettre d’améliorer le quotidien des Franciliens et des Franciliennes. »