Violences
Avec le confinement, c’est l’explosion des violences intrafamiliales
Vendredi après-midi, à Tremblay-en-France, un père a battu à mort son enfant. L’homme a roué de coups son fils de six ans, retrouvé en état de mort cérébrale par les secours, appelés par la mère, témoin de la scène comme ses autres enfants.
Violences policières : l’État se défile, les citoyens filment
Le gouvernement, main dans la main avec les syndicats de police, envisage de restreindre le droit de filmer les forces de l’ordre. Face à cela, une application sort ce mardi 10 mars pour permettre de récolter les vidéos et d’aider les victimes.
De #MeToo au procès Weinstein : « La France est à la traîne »
Harvey Weinstein condamné à 23 ans de prison ! C’est la première grande victoire du mouvement #MeToo, lancé en octobre 2017. Que faut-il en penser ? Et la France dans tout ça ? On a causé avec Anaïs Leleux.
Une semaine en Macronie : violences, mensonges, fraude et destruction de l’environnement
Était-ce une semaine comme une autre en Macronie ? Peut-être bien. Mais six informations nous ont littéralement sauté aux yeux. Comme six signes avant-coureurs de la fin d’un règne.
Ce ne sont pas des bavures, c’est une doctrine
Cédric Chouviat est mort parce qu’il a filmé des policiers. Un terrible fait-divers qui intervient quelques jours après qu’un sénateur ait voulu interdire de filmer les forces de l’ordre.
Grenelle des violences conjugales : « Il faut en finir avec le féminisme de communication »
Avec son « Grenelle », Marlène Schiappa s’empare encore des violences faites aux femmes. Pour quoi faire, s’interroge Clémentine Autain, qui constate que « dans les actes on est proche du néant ».
Violences policières : un mort par mois, en silence
Quatre ans qu’Adama Traoré est mort. Quatre ans que ses proches demandent la justice, la vérité. Sur fond de racisme inavoué, les violences policières restent largement impunies. Dans notre trimestriel du printemps 2017, nous avions publié l’article qui suit. D’une terrible actualité.
Féminicides : des paroles mais pas d’actes
En 2018, Emmanuel Macron déclarait « grande cause nationale » la lutte contre les violences faites aux femmes. En 2019, rien n’a changé. Les années passent et les femmes meurent. Seules la médiatisation et la récupération politicienne de ce phénomène changent d’amplitude.
Disparition de Steve Maia Caniço, mort de Zineb Redouane : la police déteste tout le monde ?
Quand les forces de l’ordre tuent, la légalité et/ou la légitimité de la violence ayant entraîné la mort ne font plus office que d’arguments permettant de lever toute responsabilité. Ceux qui appliquent la loi deviennent alors irresponsables de leurs actes.