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En réponse à :
Si en 36, chacun à gauche avait campé sur ses positions, il n’y aurait pas eu de Front populaire
Le constat d’une gauche au plus bas et en miettes, celui d’une droite et d’une extrême droite omniprésentes est très douloureux pour des millions de progressistes qui, certes, n’ont pas disparu mais que les dernières décennies ont désarmés et pour beaucoup découragés. La conscience qu’il découle de la crise d’identité des deux formations politiques, le PS et le PCF qui pour l’essentiel incarnaient souvent ensemble et d’abord dans le monde du travail et de la culture, l’espoir d’une vie meilleure, n’est pas encore là. Par contre, l’aspiration unitaire, celle qui de tout temps a fait la force, reste présente. (...)