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La Grèce, l’Europe et nous : il y a des batailles que l’on mène et que l’on perd
On voudrait nous convaincre que cela ne sert à rien de voter à gauche qu’on ne s’y prendrait pas mieux. L’euro à été conçu comme outil du capital financier pour corseter toute velléité de faire une politique alternative à celle voulue par l’oligarchie financière. Alors comment continuer de croire, après l’épisode grec, en cette soi-disant gauche alternative qui le revendique et le juge indépassable ? L’extrême-droite a désormais un boulevard devant elle. La capitulation de Syriza va peser lourd partout en Europe. Non, l’euro n’est pas un repart contre les nationalismes et la xénophobie, il les (...)