BD
Dans les pays arabes, la BD veut sortir de sa bulle
Dans les pays arabophones, des artistes mettent la bande dessinée au service de la liberté d’expression. Évoquant la guerre, la vie quotidienne, la famille ou la mémoire, ils font vivre une contre-culture qui prolonge l’élan des révolutions.
Vie et morts de François Mitterrand
Une bande dessinée revisite la biographie de François Mitterrand, confronté à ses interrogations métaphysiques, quelques jours avant sa mort. Mais aussi aux fantômes et aux ambiguïtés de sa vie politique.
Cher pays de notre enfance
Avec Cher pays de notre enfance, une bande dessinée qui rouvre les dossiers noirs de l’après-de Gaulle, Étienne Davodeau et Benoît Collombat nous plongent dans ces "années de plomb" que la France préférerait faire oublier.
"Mais ils sont où, les sous ?"
Alors que le gouvernement "gèle" les prestations sociales et part à la chasse aux économies sur les dépenses publiques avec son plan à 50 milliards, une réponse à cette question semble trop évidente pour être envisagée. Une BD nous la remet sous les yeux.
14-18 : cinq BD dans les tranchées
En cette année qui voit déjà les commémorations se multiplier, et au moment où commence le festival d’Angoulême, une des meilleures façons de se figurer la Grande Guerre reste la bande dessinée, qu’elle a particulièrement inspirée. Sélection de cinq œuvres majeures, sur le conflit ou à ses marges.
Putain d’années 80 !
Une BD de Désirée et Alain Frappier retrace avec justesse la décennie du virage libéral et des grandes trahisons de la gauche dans un récit à la première personne : celle d’une jeune femme en prise avec les difficultés de sa vie autant qu’avec les illusions de l’époque.
Angoulême : entre exigences artistiques et foire marchande
Rendez-vous incontournable du neuvième art, le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême qui a fermé ses portes dimanche 29 janvier est le théâtre d’une opposition entre les grandes éditions et les structures indépendantes.
Guy Delisle, grave et léger
Après Shenzen, Pyongyang et Chroniques
birmanes, Guy Delisle signe un
nouveau roman graphique, Chronique de
Jérusalem.
Joann Sfar : « mon métier, c’est de dédramatiser »
Après Gainsbourg (vie héroïque), Joann Sfar vient d’adapter au cinéma sa
bande dessinée Le Chat du Rabbin. Il évoque ici les aspects techniques
de son travail mais aussi la responsabilité des artistes dans notre société.
La religion, le dialogue, l’humanisme sont des thèmes qui lui sont chers.